Le bar à kirs, c’est tout le fantasme de l’objectif que l’on souhaite à 20 ans pour ses 30 ans, et qui, à 30 ans, ne présente plus aucun intérêt.

Pourquoi créer un bar à kirs, si ce n’est pour redorer le blason de cette boisson iconique?

A noter : fut une époque où je n’aimais boire que des kirs – ni vin ni cocktail, mais cela a bien changé!

KIRC’était aussi parce que cette boisson se décline à l’infini et peut incarner en soi un mono-produit.

L’éventail des composants hors crèmes de fruits:
– Le kir (basique) : vin blanc
– Le kir bourguignon: vin rouge
– Le kir savoyard: au vin blanc ou pétillant de Savoie
– Le kir breton / normand: cidre
– Le kir verde: « vinho verde » au sirop de grenade
– Le kir royal: champagne
– Le kir impérial: champagne et vodka!
– Le kir des dieux: champagne et curacao (ça promet aussi! )

Et c’est sans vanter l’éventail de la palette de crèmes de fruits!

Dans un bar à kirs, ces infinies combinaisons d’alcools et de crèmes permettent une personnalisation à l’extrême de la prestation et à la fois, une simplicité d’exécution.

Au boulot : il n’y a personne pour l’instant sur le créneau… 😉

Pour le plaisir, élevons le niveau en ajoutant le défi de n’y servir que des aliments en 3 lettres: ail, sel, coq, …