L’avenir du kébab chic
Premier kebab de ma vie en 2002, à 20 ans. Et je n’en ai mangé un entier qu’à 22 ou 23 ans. C’est bien l’image d’un sandwich gras et sale que j’avais, vendu dans un espace très, voire trop, masculin. Depuis, j’en ai découvert les avantages: chaud, nourrissant, logiquement équilibré (les sauces et frites ne sont…